Des soins de santé privés pour les aînés que le Québec n’a pas les moyens de payer
La faute à une politique publique à tout prix !
_Gold Squad, juin 2022.
En 2020, M. François Legault a lancé l’idée de nationaliser les soins de santé privés pour aînés au Québec en réponse aux conditions et pratiques épouvantables rapportées dans les CHSLD.
Cependant, les soins de santé coûtent de l’argent.
Qu’il s’agisse d’un secteur privé ou public, tout est une question de rentabilité.
Le premier ministre du Québec abandonne son projet, même avec le rapport de 200 pages de la coroner Géhane Kamel au coin de la rue.
Dans ce document, elle détaille « … des décennies de politiques publiques défaillantes concernant les CHSLD qui étaient déjà connues.”
Ces mauvaises politiques publiques ont sous-financé le système, terni la réputation du secteur privé de la santé au Québec et servi d’instruments pour traiter nos aînés comme des problèmes institutionnels.
Les coûts de fonctionnement des CHSLD et ce que le gouvernement couvre
Les CHSLD privés non financés facturent environ 5 000 $ à 8 000 $ par mois pour l’hébergement.
Il y a rarement une liste d’attente pour ces résidences privées de soins pour aînés, car volume est dans le meilleur intérêt des résultats.
Dans ce sens très réel, les propriétaires privés sont essentiellement dans le secteur de l’immobilier.
Dans les CHSLD financés par les secteurs public et privé (tous deux financés par le Québec), les listes d’attente sont longues mais le coût d’un mois de loyer est de 2019.30$ pour une chambre individuelle.
Cependant, le gouvernement assume 80,8% du coût réel.
That means a room costs over 10,000$ per month!
Cependant, des coûts élevés et subventionnés ne se traduisent pas par une meilleure qualité.
En fait, les rapports au plus fort de la pandémie indiquent le contraire.
Le L’ombudsman a signalé des preuves de pratiques abusives et négligentes dans 24 résidences publiques.
Les soins de santé privés pour les seniors ont terni leur réputation dans le secteur public
En plus de « décennies de politiques publiques défaillantes », Kamel écrit que, dans les CHSLD financés par le secteur privé, les « … manque flagrant de personnel … et l’insuffisance de la rémunération dans les CHSLD privés exacerbée [the health crisis]».
Un CHSLD privé est en réalité financé par des fonds publics, mais l’immeuble de la résidence appartient à un propriétaire privé et est géré par celui-ci.
Cependant, puisqu’il utilise des fonds publics, il suit les mandats de la politique publique ; Le Québec fournit les lignes directrices pour les soins de santé aux aînés, que le secteur privé finance, suit.
En d’autres termes, les défaillances du secteur public sont responsables des mauvaises procédures et pratiques de fonctionnement, du manque de fonds et du manque de personnel dans les CHSLD financés par le secteur privé.
Et ils le savent.
Le secteur public connaît une pénurie de personnel similaire à celle du secteur privé, mais ironiquement, 30 % de ses effectifs sont occupés par des entrepreneurs privés.
No wonder the private sector struggled!
C’est à dessein.
De cette façon, le gouvernement évite la controverse et les retombées de mauvaises politiques publiques.
Il se dérobe à ses responsabilités sur le secteur privé de la santé des aînés du Québec, ternissant ainsi sa réputation.
En fin de compte, il n’y a pas assez de fonds publics pour soutenir un système de soins de longue durée aux personnes âgées qui fonctionne bien.
Alors, Legault le balaie sous le tapis.
Les CHSLD sont-ils toujours d’actualité ?
En tant que société fortement réglementée, nous avons tendance à institutionnaliser nos problèmes.
En ce qui concerne les soins aux personnes âgées, cela conduit à « entreposage. »
Au lieu de cela, les experts et les aînés disent que les aînés seraient mieux servis à domicile et de réorienter le financement vers les soins à domicile.
Mais comment peut-on faire confiance à un gouvernement incapable de gérer des services de soins de base et humains aux personnes âgées dans ses propres institutions et qui ne veut pas corriger sa politique publique désastreuse pour fournir des services de soins à domicile ?
Vous avez besoin de Gold Squad.
Sans les contraintes du secteur public qui ont normalisé des services de mauvaise qualité, Gold Squad maintient l’étalon-or de la décence humaine que nos aînés méritent.
Nous offrons des services de soins à domicile personnalisés et flexibles dans la grande région de Montréal.
Renseignez-vous sur les options qui s’offrent à vous ou à un proche âgé en appelant le 438 700-9107 ou prendre rendez-vous avec Heather Parnell, fondatrice et propriétaire de Gold Squad.
Sources:
https://www.ramq.gouv.qc.ca/en/citizens/aid-programs/accommodation-a-public-facility